[Webinaire] La propriété intellectuelle au défi des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024

supporters heureux

Détails

L'enregistrement de ce webinaire est disponible ci-dessous.

À mesure que l'excitation monte pour les Jeux olympiques et paralympiques de 2024 à Paris, des entreprises du monde entier sont désireuses de partager leur enthousiasme et leur soutien pour le plus grand événement sportif mondial. Mais est-il possible de le faire de manière légale si vous n'êtes pas un partenaire officiel des Jeux ?

Les grands événements sportifs mondiaux offrent aux titulaires de marques une occasion précieuse de renforcer leur image et d'attirer de nouveaux clients enthousiastes de l'effervescence sportive. Cependant, le Comité International Olympique (CIO) prend la propriété intellectuelle et le sponsoring autant au sérieux que la compétition elle-même, ce qui signifie que des entreprises bien intentionnées peuvent facilement se retrouver du mauvais côté de la loi.

Le 12 mars, Romain Voillemot, Directeur Juridique du Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 et Ericka Winogradsky, Conseil en Propriété Industrielle, vous ont livré des informations précieuses sur les bonnes pratiques à adopter et les erreurs à éviter en matière de marques.

Ce webinaire de 45 minutes aborde les points suivants :  

  • Les règles et réglementations légales qui déterminent quelles marques vous pouvez ou ne pouvez pas utiliser ;   
  • La zone grise de l'"ambush marketing" et comment rester dans les limites légales;   
  • Les bonnes et mauvaises pratiques en matière de marque qui vous aideront à communiquer dans l'esprit des Jeux.   

L'enregistrement de ce webinaire est disponible ci-dessous.

 

Insights liés

Articles

Quand les chiffres font leur numéro dans la jurisprudence européenne sur les marques

L’EUIPO a rendu une décision étonnante (Opposition n°003203223, 17 juin 2024), dans laquelle il a choisi d’adopter une position stricte dans son appréciation de la distinctivité d’une marque, composée, notamment, d’un chiffre. Cette décision pourrait servir de précédant, illustrant les défis complexes posés par l’appréciation du critère de distinctivité des marques, un principe aux frontières étriquées.

Par Clarisse Merdy,
Quand les chiffres font leur numéro dans la jurisprudence européenne sur les marques

Pour plus d'informations ou de conseils contactez-nous